Marisol Touraine, la responsable du pôle social de François Hollande, a rappelé jeudi 26 avril l’engagement du candidat à mettre en place une loi cadre pour la dépendance des personnes âgées s’il était élu dimanche 6 mai.
Un texte décliné avec "le doublement du plafond de l’APA (allocation personnalisée autonomie)”, soit “220 millions d’euros par an” et 80 000 logements aménagés, soit encore 140 millions par an. S’exprimant sur France Info, Marisol Touraine a précisé que cette négociation serait “une des premières choses” que François Hollande ferait s’il était élu.
“Cela veut dire que, dans nos politiques publiques, nous devons prendre en compte le vieillissement dans l’aménagement des villes, la question des transports, l’aménagement des logements” et “leur construction”, a précisé celle que l’on présente comme la future ministre des Affaires sociales d’un gouvernement de gauche.
De son côté - alors que la réforme de la dépendance a été stoppée cette année du fait de la crise -, Nicolas Sarkozy joue la prudence, annonçant en substance la reprise du chantier lorsque la situation économique de la France le permettra.
[source : Egora.fr]
Quid de la dépendance après le 6 mai 2012 ?
Marisol Touraine, la responsable du pôle social de François Hollande, a rappelé jeudi 26 avril l’engagement du candidat à mettre en place une loi cadre pour la dépendance des personnes âgées s’il était élu dimanche 6 mai.
Un texte décliné avec "le doublement du plafond de l’APA (allocation personnalisée autonomie)”, soit “220 millions d’euros par an” et 80 000 logements aménagés, soit encore 140 millions par an. S’exprimant sur France Info, Marisol Touraine a précisé que cette négociation serait “une des premières choses” que François Hollande ferait s’il était élu.
“Cela veut dire que, dans nos politiques publiques, nous devons prendre en compte le vieillissement dans l’aménagement des villes, la question des transports, l’aménagement des logements” et “leur construction”, a précisé celle que l’on présente comme la future ministre des Affaires sociales d’un gouvernement de gauche.
De son côté - alors que la réforme de la dépendance a été stoppée cette année du fait de la crise -, Nicolas Sarkozy joue la prudence, annonçant en substance la reprise du chantier lorsque la situation économique de la France le permettra.
[source : Egora.fr]