Bonjour,
Après un certificat de mon médecin traitant m'adressant à un chirurgien urologue pour suspicion de cancer rénal, j'ai subi une néphrectomie partielle à l'hôpital, sans examens préalables autres qu'une tomodensitométrie montrant une tumeur en partie exorénale.
Après l'intervention , le chirurgien m'a affirmé qu'il s'agissait d'un angiomyolipome (tumeur bénigne)et que tout avait été enlevé.
Par suite d'une atonie musculaire s'aggravant, j'ai consulté dans un autre établissement, doté d'un service de chirurgie réparatrice,6 mois plus tard.
La loi du 4 mars 2002 m'ayant permis d'obtenir mon dossier, déjà archivé à l'hôpital, j'ai alors appris qu'il s'agissait d'un adénocarconome grIII (cancer grave) d'exérèse incomplète.
Ni mon médecin, ni moi-même n'avions été prévenus (CR d'anapath non envoyé).
J'ai porté plainte au TA.
L'expert a déclaré que l'hôpital m'avait "protégée psychologiquement" en ne m'informant pas...
J'ai subi une seconde néphrectomie partielle 9 mois plus tard par un professeur à Bichat et deux ans plus tard une cure d'éventration.
Je reste assez handicapée.
L'expert, dont le rapport m'a valu au TA, une condamnation aux dépens, continue de prétendre que mes seules douleurs sont paravertébrales (jamais eues!). Le mot cancer n'apparait même pas dans les écrits de ses conseils!
Alors, le droit des malades, c'est pour moi, une imposture!
non information en cas de cancer
Bonjour,
Après un certificat de mon médecin traitant m'adressant à un chirurgien urologue pour suspicion de cancer rénal, j'ai subi une néphrectomie partielle à l'hôpital, sans examens préalables autres qu'une tomodensitométrie montrant une tumeur en partie exorénale.
Après l'intervention , le chirurgien m'a affirmé qu'il s'agissait d'un angiomyolipome (tumeur bénigne)et que tout avait été enlevé.
Par suite d'une atonie musculaire s'aggravant, j'ai consulté dans un autre établissement, doté d'un service de chirurgie réparatrice,6 mois plus tard.
La loi du 4 mars 2002 m'ayant permis d'obtenir mon dossier, déjà archivé à l'hôpital, j'ai alors appris qu'il s'agissait d'un adénocarconome grIII (cancer grave) d'exérèse incomplète.
Ni mon médecin, ni moi-même n'avions été prévenus (CR d'anapath non envoyé).
J'ai porté plainte au TA.
L'expert a déclaré que l'hôpital m'avait "protégée psychologiquement" en ne m'informant pas...
J'ai subi une seconde néphrectomie partielle 9 mois plus tard par un professeur à Bichat et deux ans plus tard une cure d'éventration.
Je reste assez handicapée.
L'expert, dont le rapport m'a valu au TA, une condamnation aux dépens, continue de prétendre que mes seules douleurs sont paravertébrales (jamais eues!). Le mot cancer n'apparait même pas dans les écrits de ses conseils!
Alors, le droit des malades, c'est pour moi, une imposture!