Je suis allé chez un rhumatologue pour me faire soigner le genou qui me faisait mal par intermittence. Il a pratiqué une infiltration de l’acide hyaluronique "synovial". Selon son habitude, il a cherché la compresse et le pansement avant et après l’injection. De plus, en disant qu’il lui est difficile de trouver l’endroit désinfecté sur un épiderme foncé, il pique, comme à chaque fois, au hasard sans porter de masque ni des gants. Il est aussi important de souligner que dans son cabinet médical, les toilettes sont démunies de lave-mains (lavabo) et de désinfectant.
Après l’injection, au fil des heures, j’ai senti un accroissement de douleur accompagnée d’une inflammation de mon genou. Dès le lendemain, la douleur s’est accentuée et une rougeur au point de ponction est apparue.
Je suis retourné voir le rhumatologue. En me voyant souffrir d’une infection et d’une inflammation de mon genou, il n’a trouvé rien de mieux que de me prescrire du paracétamol "dafalgan" contre la douleur et m’a dit "si la douleur persistait et si vous aviez de la fièvre, on verra à ce moment-là" et m’a demandé de lui régler ses honoraires. Je lui ai payé ses frais, ce qui est normal.
La souffrance et la douleur étant insupportables, je ne pouvais plus plier ma jambe ni la poser par terre. Elle s’est enflée comme un ballon de rugby (une pastèque) du haut de la cuisse jusqu’à la cheville avec une prise de godet.
Par conséquent, j’ai appelé mon médecin traitant qui a réalisé une prise de sang. Dès la réception du résultat, il m’a fait rentrer à l’hôpital. Donc, suite à cette infiltration de l’acide hyaluronique – "synoviale" – j’ai contracté une maladie nosocomiale "un staphylocoque" nécessitant une hospitalisation en urgence.
A l’hôpital, ils ont pratiqué plusieurs ponctions et ont réalisé une arthotomie (ouverture de 17 cm) afin de procéder au lavage du genou gauche. Après trois semaines de souffrances et de soins, ils ont décidé de me laisser sortir avec l’interdiction de poser ma jambe gauche par terre.
Suite à cette infiltration, J’ai perdu mon autonomie et pour tout, je dois compter sur une tierce personne. Je suis en arrêt maladie depuis le 13 janvier 2014, totalisant 11 mois d’immobilisation d’une part et d’autre part je vois mon salaire diminuer (demi-traitement).
Après une immobilisation totale trois mois, je me déplace difficilement à l’aide des béquilles. Malgré les rééducations ardues et souffrantes, je ne marche toujours pas, je titube. Le médecin traitant et le kiné disent qu’il se peut que je boite toute ma vie. Je courais 10 à 12 km 2 ou 3 fois par semaine, et ce en moins d’une heure (50 à 57min). Alors que maintenant, pour faire 10 pas je mets 3 min.
En effet, je suis allé voir mon rhumatologue pour qu’il soigne mon genou qui me faisait mal occasionnellement. Or, au lieu de le soigner, suite à cette négligence et/ou erreur médicale, je souffre d’une polyarthrite septique que je n'avais pas avant. De plus, la douleur persiste et me réveille la nuit.
Par ailleurs, lorsque je suis retourné le voir, il aurait pu me soigner ou me diriger vers un centre spécialisé. Alors qu’il s’est conduit comme un débutant face à son premier cas. S’il avait pris des mesures nécessaires à temps, l’arthotomie aurait pu éviter tout en écourtant la durée de souffrance en facilitant le rétablissement.
D’autre part, pendant mon hospitalisation, le rhumatologue exerçant dans le même endroit, ne m’a même pas rendu visite de courtoisie ni de consolation. Il est regrettable que les malades soient traités comme des clients et non comme des patients avec compassion. D’ailleurs, ce sont les malades qui ont de la patience.
Suite à cette infiltration, je suis emprisonné, immobilisé. Je suis angoissé et je plonge dans la déprime. Je souffre énormément et la douleur me réveille la nuit. Ayant perdu mon autonomie, je suis dépendant d’une tierce personne en permanence. Je suis en arrêt maladie depuis le 13 janvier 2014, totalisant 10 mois d’arrêt maladie d’une part et d’autre part je vois mon salaire diminuer (demi-traitement). Les avis médicaux me préviennent que cette situation risque de perdurer.
J’ai formulé une demande de mon dossier médical. Et, j’attends depuis presque 3 mois.
De ce fait, je vous saurais gré, si vous pouvez m’aider à obtenir réparation.
D’autre part, le staphylocoque donne-t-il droit au Congé Longue Durée car je suis en CLM depuis janvier 2014 d’une part et d’autre part, né en 1953, je m’approche de la retraite – normalement dans 3 ou 6 mois.
Que faire ?! Je crie au secours
Erreur médicale ou maladie nosocomiale
Mesdames et Messieurs,
Je suis allé chez un rhumatologue pour me faire soigner le genou qui me faisait mal par intermittence. Il a pratiqué une infiltration de l’acide hyaluronique "synovial". Selon son habitude, il a cherché la compresse et le pansement avant et après l’injection. De plus, en disant qu’il lui est difficile de trouver l’endroit désinfecté sur un épiderme foncé, il pique, comme à chaque fois, au hasard sans porter de masque ni des gants. Il est aussi important de souligner que dans son cabinet médical, les toilettes sont démunies de lave-mains (lavabo) et de désinfectant.
Après l’injection, au fil des heures, j’ai senti un accroissement de douleur accompagnée d’une inflammation de mon genou. Dès le lendemain, la douleur s’est accentuée et une rougeur au point de ponction est apparue.
Je suis retourné voir le rhumatologue. En me voyant souffrir d’une infection et d’une inflammation de mon genou, il n’a trouvé rien de mieux que de me prescrire du paracétamol "dafalgan" contre la douleur et m’a dit "si la douleur persistait et si vous aviez de la fièvre, on verra à ce moment-là" et m’a demandé de lui régler ses honoraires. Je lui ai payé ses frais, ce qui est normal.
La souffrance et la douleur étant insupportables, je ne pouvais plus plier ma jambe ni la poser par terre. Elle s’est enflée comme un ballon de rugby (une pastèque) du haut de la cuisse jusqu’à la cheville avec une prise de godet.
Par conséquent, j’ai appelé mon médecin traitant qui a réalisé une prise de sang. Dès la réception du résultat, il m’a fait rentrer à l’hôpital. Donc, suite à cette infiltration de l’acide hyaluronique – "synoviale" – j’ai contracté une maladie nosocomiale "un staphylocoque" nécessitant une hospitalisation en urgence.
A l’hôpital, ils ont pratiqué plusieurs ponctions et ont réalisé une arthotomie (ouverture de 17 cm) afin de procéder au lavage du genou gauche. Après trois semaines de souffrances et de soins, ils ont décidé de me laisser sortir avec l’interdiction de poser ma jambe gauche par terre.
Suite à cette infiltration, J’ai perdu mon autonomie et pour tout, je dois compter sur une tierce personne. Je suis en arrêt maladie depuis le 13 janvier 2014, totalisant 11 mois d’immobilisation d’une part et d’autre part je vois mon salaire diminuer (demi-traitement).
Après une immobilisation totale trois mois, je me déplace difficilement à l’aide des béquilles. Malgré les rééducations ardues et souffrantes, je ne marche toujours pas, je titube. Le médecin traitant et le kiné disent qu’il se peut que je boite toute ma vie. Je courais 10 à 12 km 2 ou 3 fois par semaine, et ce en moins d’une heure (50 à 57min). Alors que maintenant, pour faire 10 pas je mets 3 min.
En effet, je suis allé voir mon rhumatologue pour qu’il soigne mon genou qui me faisait mal occasionnellement. Or, au lieu de le soigner, suite à cette négligence et/ou erreur médicale, je souffre d’une polyarthrite septique que je n'avais pas avant. De plus, la douleur persiste et me réveille la nuit.
Par ailleurs, lorsque je suis retourné le voir, il aurait pu me soigner ou me diriger vers un centre spécialisé. Alors qu’il s’est conduit comme un débutant face à son premier cas. S’il avait pris des mesures nécessaires à temps, l’arthotomie aurait pu éviter tout en écourtant la durée de souffrance en facilitant le rétablissement.
D’autre part, pendant mon hospitalisation, le rhumatologue exerçant dans le même endroit, ne m’a même pas rendu visite de courtoisie ni de consolation. Il est regrettable que les malades soient traités comme des clients et non comme des patients avec compassion. D’ailleurs, ce sont les malades qui ont de la patience.
Suite à cette infiltration, je suis emprisonné, immobilisé. Je suis angoissé et je plonge dans la déprime. Je souffre énormément et la douleur me réveille la nuit. Ayant perdu mon autonomie, je suis dépendant d’une tierce personne en permanence. Je suis en arrêt maladie depuis le 13 janvier 2014, totalisant 10 mois d’arrêt maladie d’une part et d’autre part je vois mon salaire diminuer (demi-traitement). Les avis médicaux me préviennent que cette situation risque de perdurer.
J’ai formulé une demande de mon dossier médical. Et, j’attends depuis presque 3 mois.
De ce fait, je vous saurais gré, si vous pouvez m’aider à obtenir réparation.
D’autre part, le staphylocoque donne-t-il droit au Congé Longue Durée car je suis en CLM depuis janvier 2014 d’une part et d’autre part, né en 1953, je m’approche de la retraite – normalement dans 3 ou 6 mois.
Que faire ?! Je crie au secours